vendredi 8 juillet 2016

Chiang Rai, à vue de nez

Il est 16h. J’ai faim.

D’après le plan et mon interprétation, la prochaine à gauche abrite certainement un des plus beaux trésors couverts du Nord de la Thaïlande.
Je presse le pas.
Ça y est, à gauche toute. Sur le trottoir droit, j’aperçois la pointe dorée du temple. LE temple de la ville. CELUI à ne pas manquer. Il a mérité ses Trois bonhommes au Guide du Touristard.
La pointe annonce déjà la démesure de l’édifice, c’est fou de faire des temples pareils.
Je le dépasse sans même avoir conscience de ma réflexion habituelle sur les temples, les bouddhas qui gardent l’entrée, les trucs dorés, les bouddhas d’intérieur, les cloches, les tongs à enlever et les épaules à couvrir qui vont avec. Je n’en verrai pas plus que la pointe de ce temple. Et c’est aussi bien comme ça.